Mentions légales
Viens On Fait Rien est une association Loi 1901 créée le 12 octobre 2017 auprès de la Préfecture de l’Aveyron sous le numéro W122004930.
Les personnes en charges de l’association, membres du bureau, sont :
- La Présidente : Ombline Bergougnoux
- La Secrétaire Générale : Camille Bergougnoux
- La Vice-Secrétaire : Channel Roig
- Le Trésorier : Mikael Arnould
- Le Vice-Trésorier : Franck Bergougnoux
Elle est publiée dans le Journal Officiel de la République Française – Associations et fondations d’entreprise – du samedi 28 octobre 2017 (149ème année – N°43 – Annonce n°184)
Le site Internet viensonfaitrien.com est la propriété de l’association Viens On Fait Rien. Toute reproduction ou plagiat est interdit si la source n’est pas mentionnée.
Le contenu rédactionnel et médiatique (photographies/vidéos/interviews) sont la propriété de l’association « Viens On Fait Rien ». Tous supports utilisés n’étant pas la propriété de VOFR fait l’objet d’un accord avec son propriétaire. Toute reproduction ou plagiat est interdite sans demande au préalable.
Viens On Fait Rien fait la promotion d’événements musicaux, culturels et sportifs. Après de nombreuses captations et interview pour des artistes locaux et (inter)nationaux (Danakil, Lombre, PITW, YaniSs Odua, DJ Live de MasterFader, Welch et Edward Hardy, Laura Calu…), nous avons réalisé des aftermovies pour de gros rassemblements culturels tels que le This Is Not A Love Song de Paloma et Come On People, les événements de la société Onze Productions, la Denim Cup, la première édition des talks TEDxBoulevard Gambetta et bien d’autres.
- L’Agenda des sorties une sélection par Viens On Fait Rien
- La Rencontre avec un artiste, organisateur d’événement ou spectateurs
- Les Coups de Cœur d’artistes qui se sont produits récemment ou qui vont se produire dans la région
(podcast ici)
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au versement de dommages et intérêts pour réparer le préjudice de la ou des victimes. Leur montant peut être calculé en fonction de différents critères (manque à gagner, baisse du chiffre d’affaires, bénéfices réalisés par le contrefacteur, préjudice moral (atteinte à l’image, etc.) ou évalués de manière forfaitaire sur la base de redevances qui auraient été dues par un licencié
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à cesser les actes de contrefaçon
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à retirer les contrefaçons des circuits commerciaux. Dans le cadre d’une action pénale, les sanctions encourues peuvent aller jusqu’à 4 ans et 400 000 € d’amende, voire jusqu’à 5 ans et 500 000 € en cas de circonstances aggravantes (produits contrefaisants dangereux ou issus de réseaux criminels)
A bientôt !